Les Cosaques du Bandolou
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Les Cosaques du Bandolou

Forum relatant la vie et les péripéties des cosaques du Bandolou
 
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 Boute-Selle du 16 novembre 2019

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Joël
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MessageSujet: Boute-Selle du 16 novembre 2019   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitimeDim 17 Nov - 16:44

Français et Würtembergeois vs Russes

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Joël
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MessageSujet: Re: Boute-Selle du 16 novembre 2019   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitimeDim 17 Nov - 16:53

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Marc S
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MessageSujet: Courrier pour l'Empereur   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitimeJeu 21 Nov - 20:57

Monsieur mon frère, j’ai l’honneur de rapporter à Votre Majesté Impériale l’immense victoire, ce jour, de vos troupes contre le corps du maréchal Masséna. Laissez-moi vous conter, en quelques phrases, cet affrontement de titans où l’aigle impériale a montré toute la puissance de son vol.

Ayant appris que le corps de Masséna avançait à marche forcée pour rejoindre le gros des forces françaises, je pris sur moi de me porter à sa rencontre avec une petite partie des hommes qui m’avaient été confiés. Le corps d’infanterie du major général Aleksey Petrovich Yermolov, la division de cavalerie lourde du major général Ilia Mikhailovich Duka et la brigade légère du général Ivan Egorovitch Chévitch devaient suffire à les bousculer. On m’annonçait des troupes au moins deux fois plus nombreuses, mais la valeur de nos soldats est sans pareil.

L’ennemi, quand nous l’atteignîmes, progressait entre une route et un fleuve pas encore totalement gelé sur sa droite. La situation ne nous était pas favorable. Nous nous trouvions à découvert en plaine. Une colline sur notre gauche offrait à notre adversaire une position avantageuse, une forêt au centre un formidable point d’appui et la route enclavée à cet endroit par des haies obstruait notre droite, nous interdisant toute tentative de l’envelopper sans combattre. Mais Dieu nous avait conduits en ce lieu, alors qui étais-je pour mettre en doute son jugement. L’avenir récompensa ma confiance.

Un hourra jaillit de la plaine, suivi de deux autres. Nos hommes, bien que conscients de cette situation inconfortable, demeuraient motivés à piétiner ces mécréants. Surtout ces traitres de Wurtembergeois, qu’ils mourraient d’envie de tailler en pièce en l’honneur de notre mère, l’Impératrice douairière Maria Fiodorovna.

Ces derniers semblaient penser nous affronter entre le bois et la route. Du côté français, l’organisation me surprit assez. S’il était clair qu’ils voulaient prendre position sur la colline pour tenter de bousculer ensuite notre aile gauche, leurs troupes étaient bien trop tassées contre le fleuve pour leur permettre d’exploiter pleinement leur nombre bien supérieur au nôtre. En outre, leur cavalerie était flanquée de part et d’autre par des divisions d’infanterie, ôtant toute possibilité d’actions aux divisions de cavalerie lourde massées à l’arrière.

Connaissant assez bien les qualités militaires du maréchal Masséna, j’en conclus qu’il ne se trouvait pas derrière la lunette de commandement. Avait-il déjà rejoint Napoléon ? Ou bien était-il souffrant, comme nos espions le prétendaient ? Il n’était pas toutefois question de laisser passer une telle occasion.

J’envisageais le champ de bataille et en quelques secondes le plan prit forme. Je lançais mes ordres. Notre cavalerie devait stopper l’avancée des Français pendant que l’infanterie anéantirait rapidement les Allemands pour ensuite se rabattre pleine de fureur sur des Français esseulés.

À peine mes estafettes eurent-elles rejoint l’état-major du baron Duka que déjà les régiments de cavalerie du général Chévitch s’ébranlaient pour se porter confiant à la rencontre de Français bien plus nombreux. Ces jeunes gens ont dans le cœur toute la noblesse qui caractérise l’âme russe.

Les trois régiments de cavalerie légère se ruèrent donc vers la colline, précédés par un essaim de cosaques des sotnias de la mer noire. Les dragons et une batterie à cheval se positionnaient pendant ce temps près du fleuve pour flanquer leur flanc gauche. Très vite les pièces de 12 livres de cette batterie se mirent à déverser fer et feu sur les soldats de l’ogre. Surpris par la promptitude et l’enthousiasme de nos troupes, il s’en fallut de peu que les Français ne détalent immédiatement.

À centre, les deux divisions du corps de Yermolov montaient en ligne vers le bois, précédées par les courageux chasseurs finlandais de votre Majesté. Ceux-ci faisant fi des tirs nourris de l’ennemi décidèrent coute que coute d’emporter le bois. Ces loups voulaient montrer qu’ils pouvaient sans peine en déloger les chasseurs wurtembergeois qui l’occupaient déjà. Je n’en doutais point, mais fis savoir que cela était inutile, ces pleutres ne présentaient aucun danger.

Sur notre aile gauche, un combat digne de l’antique prenait forme autour de la colline. Il allait durer jusqu’à la fin de la bataille. Notre cavalerie y affronterait seule les Français que finalement elle mettrait à genoux. Le choc débuta par une charge de nos légers sur la cavalerie française qui avait bien du mal de se dépêtrer de son infanterie pléthorique. Vos régiments de hussards et cosaques de la Garde fondirent tels des aigles sur la cavalerie franco-hessoise. Au même moment, celui des uhlans engagea deux régiments de cuirassiers qui s’extrayaient tant bien que mal de la masse les environnant. Les géants français furent surpris par cette foudroyante attaque et nombre d’entre eux finirent, malgré leur cuirasse de fer, empalés au bout des lances des hommes de votre terrible régiment de la Garde. Charges et contrecharges homériques s’enchainèrent dès lors autour de la colline. Vos enfants se ruaient tels des démons au milieu du feu des canons et mousquets français. Les actes héroïques succédaient aux actes héroïques. Vos cavaliers, respectant à outrance, les ordres reçus ne cédaient pas un pouce de terrain. Les Français ne devaient qu’à leur masse impressionnante leur lente avancée, passant sur le corps de nos braves qui ne se contentaient pas de mourir deux fois, mais offraient chacun une troisième vie pour la gloire de leur empereur. Les uhlans de la Garde se montrèrent à cet égard sans pareil. Ils affrontèrent jusqu’au dernier des cuirassiers français bien plus nombreux. Un sacrifice qui refroidit l’enthousiasme des Français effrayés par tant de bravoure. C’est ainsi que la Garde vit, en sachant quand mourir pour la Sainte Russie.

La brigade du général Kryschanovski de la deuxième division d’infanterie prit position entre la colline et le bois. Les bataillons des Grenadiers de la Garde et des Lithuaniens de la Garde formaient une ligne infranchissable, interdisant un éventuel soutien des Français aux Wurtembergeois. Un soutien qui ne vint jamais, les Français étant bien trop occupés pour seulement y songer. D’autant que nos divisions de cavalerie lourde bousculaient l’une après l’autre les batteries françaises, leur ôtant la puissance de feu qui aurait pu leur donner un peu de courage pour monter à l’assaut et espérer affronter cette ligne d’acier. C’est lors d’une de ces charges glorieuses, celle des cuirassiers de Starodoub, que le général Levaschoff eut la vie prise par un boulet français. Une mort que vengèrent immédiatement ses hommes en forçant à la déroute artilleurs et fantassins français qui défendaient cette batterie.

Le centre étant sans conteste entre nos mains, la première division de la Garde reçut l’ordre de tourner les Wurtembergeois. Pour permettre ce mouvement, les chasseurs finlandais de la Garde bien qu’appartenant à la deuxième division furent chargés d’engager l’ennemi le long du bois. Ils se reformèrent en colonnes et, sans attendre, se ruèrent tels des ours furieux sur la deuxième vague des bataillons allemands qui débouchaient à la droite des arbres. La première avait été stoppée net par le feu nourri de l’artillerie légère de la Garde fort ingénieusement placée en soutien à cet endroit. Le contact entre les chasseurs et les bataillons allemands ne fut qu’une discussion de courte durée. Ces derniers refluèrent bien plus rapidement qu’ils n’étaient arrivés. Au même moment, une charge d’un régiment de la cavalerie wurtembergeoise, probablement embarqué par l’enthousiasme d’un soutien irréfléchi, fut fauchée par les boulets de nos canons de 8 livres. La cisaille trancha avec une telle vigueur que les cavaliers, fidèles à leur réputation, préférèrent se retirer en arrière du front, où ils furent prestement rejoints par le reste de la cavalerie wurtembergeoise.

À ce moment, l’état-major wurtembergeois crut déceler une circonstance opportune pour bousculer nos hommes. La première division ayant vu son mouvement glissant sur la droite quelque peu ralenti, ses bataillons arrivaient en ordre dispersé. En particulier, les deux bataillons de chasseurs de cette division en ligne double se suivaient de trop près et présentaient un flanc trop exposé. Les généraux wurtembergeois saisirent l’occasion qui leur était offerte. Le premier bataillon reçu, sans pouvoir même tirer une salve, la charge d’une colonne alors qu’il se trouvait sous le feu à bout portant d’une batterie. Le deuxième subit celle de deux bataillons. Tout cela ne devait être qu’une formalité pour les officiers wurtembergeois. Ils mésestimèrent le courage et le moral de nos troupes qui absorbèrent ces chocs d’une violence extrême sans reculer d’un pas. Les deux bataillons du régiment des chasseurs de la Garde méritaient la gloire passée de leur drapeau. Les hommes tombaient, mais les rangs se reformaient en puissante muraille.

Très vite, sous les ordres du général Bistrom, l’autre régiment de la brigade vint soutenir les chasseurs de la Garde. Dans un ordre froid et une rigueur martiale exemplaire, les mousquetaires du régiment Ismailov dégagèrent leurs compagnons d’armes et repoussèrent les Wurtembergeois. L’avance générale des Allemands était stoppée, leur recul était désormais inévitable. L’armée wurtembergeoise était vaincue, et cela sans que nos forces n’aient réellement été ébranlées. Notre infanterie allait pouvoir se rabattre sur l’arrière des Français quand un brouillard soudain se leva sur la plaine. La nuit ne devant guère tarder cette obscurité compacte interdit tout mouvement concerté et mit un terme précipité à cette glorieuse journée.

Je transmettrai rapidement d’autres nouvelles à Votre Majesté, mais j’ai voulu au plus vite lui faire part de cette grande victoire. Une victoire qui ne peut constituer qu’un heureux présage pour la bataille décisive que nous nous devons de mener dans les jours prochains. J’implore Votre Majesté Impériale de donner l’ordre au Comte Barclay de Tolly de cesser cette retraite indigne de nos soldats, pour combattre enfin l’ogre corse. Cette future bataille marquera d’effroi toute cette Europe qu’il a liguée contre notre Sainte Russie, mettant fin par là même à son alliance contre nature et par voie de conséquence à son usurpation du trône de France.

Dieu garde la Sainte Russie et son Tsar.

Votre frère, Constantin Pavlovitch Romanov, Grand-duc de Russie

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Theodoros
Starchy Kazak : Sous Hetman Kazak en pologne
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MessageSujet: Re: Boute-Selle du 16 novembre 2019   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitimeVen 22 Nov - 0:11

Votre Majesté,
j'ai l'honneur de vous faire parvenir le rapport du combat qui s'est déroulé hier un peu en avant de Lausitz.
Conformément aux ordres de votre Majesté, le Général Bertrand a opéré sur le flanc de l'armée des Coalisés qui retraitait en grand désordre depuis Bautzen. Il m'a demandé de longer la rive gauche de la Spree pour atteindre au plus vite Lausitz, et ainsi couper le seul passage sur la rivière à Lausitz même.
Le 26, nous quitâmes Bad Muskau, et le lendemain vers le midi, alors que nous n'étions qu'à quatre lieues de Lausitz et de son pont nous trouvâmes un fort parti ennemi, rangé en bataille de part et d'autre de la route, sa gauche appuyée à la Spree.
Aussitôt, nous allâmes à l'ennemi.
Notre dispositif était destiné à bousculer les russes le long de la rivière pour s'ouvrir un passage vers la seule ligne de retraite de l'armée que Votre Majesté a battue le 21 mai. Ainsi de droite (appuyée à la rivière) à gauche (la route de Lausitz) : la brigade Bellair (3ème Légers, 13ème de Ligne), la brigade de cavalerie légère Briche (Chevau-Légers Hessois, Dragons Légers Badois), la bigade Sicard (2ème Croates, 23ème de Ligne, jusqu'au bois de Setrheim), puis la 38ème division Würtembergeoise commandée par le brave général Franquemont (10 bataillons, deux rgts de cavalerie Légère et deux batteries) groupée entre le bois et le hameau de Fritsheim traversé par la route vers Lausitz. La division de cavalerie lourde du général Doumerc était positionnée immédiatement derrire les Légers de Briche.
Nous nous portâmes résolument en avant, conscient de notre devoir de forcer le solide verrou déployé devant nous et atteindre le pont avant la nuit, pour couper la retraite à toute l'armée ennemi en retraite devant Votre Majesté.
Une fois à portée de l'ennemi, nous eûmes la stupéfaction d'en constater la nature ! C'est tout le Vème corps de la Garde Russe que nous avions devant nous ! La 1ère division de la Garde (8 bataillons des fameux régiments Préobrajenski, Séménovski, Ismaïlovsli et Jägers-Garde) en deuxième ligne, la 2ème division de la Garde (8 bataillons des régiments Lithuanie, Finlande, Leib et Pavlov) en prmière ligne. La gauche de l'ennemi, elle même appuyée à la Spree, consituée de la Brigade de Cavalerie Légère de la Garde (Hussards, Lanciers, Cosaques et Dragons de la Garde), couvert par plusieurs sotnias de cosaques réguliers. Derrière elle, en réserve se trouvait la division de cuirassiers Duka (4 régiments).
C'est notre infériorité en éclairage, matière dominée par ces maudits cosaques qui nous a fait défaut, et donc donner dans l'élite du Tsar.
Ma division d'infanterie se porta résolument en avant soutenue par les würtembergeois. Le combat a d'abord été essentiellement un combat de cavalerie. En effet toute la cavalerie ennemie est venue couronner une hauteur pour bloquer l'avancée de ma 12ème division d'infanterie. C'est alors que le brave général Briche a chargé les gardes russes qui tenaient ces hauteurs. A la suite, le général Doumerc a engagé à fond ses "gros talons".
Pendant 3 heures, charges et contre-charges se sont succédées autour de ces hauteurs, permettant enfin à la brigade Bellair de déboucher le long de la Spree, et ainsi tourner tout le dispositif ennemi et l'éloigner de la rivière qu'il devait couvrir.
J'ai l'honneur de rapporter à Sa Majesté les hauts faits d'armes de sa cavalerie. Les beaux régiments du Tsar ont été proprement étrillés, et bousculés cul par dessus tête. L'ennemi n'a pu garder les deux batteries d'artillerie qui s'étaient sacrifiées en recevant chacune le choc d'une brigade de cuirassiers russes. Le régiments des lanciers de la Garde n'est plus, celui des Cosaques de la Garde non plus, et celui des hussards en pleine retraite. Quant à la division Duka, elle ne sera plus opérationnelle avant de longues semaines. Les belles dames de St Petersburg vont pleurer et porter le deuil de tous ces gentilhommes arrogants.
Nos pertes ont été modestes : les braves artilleurs, leurs deux bataillons de soutien, et les dragons légers Badois ont eu, seuls, de lourdes pertes. Le reste de la 12 division est intacte, ainsi que les cuirassiers de Doumerc.
Hélas, les combats acharnés nous ont conduit jusqu'au point du jour, et nous n'avons pu exploiter le grand succés de notre cavalerie.
L'Infanterie ennemie, peu touchée pouvait retraiter en bon ordre.
D'autant plus, que pour soutenir notre coup de boutoir le long de la Spree, le valeureux Général Franquemont s'est sacrifié. Il fallait voir nos compagnons würtembergeois attaquer sans cesse les vieux bataillons de Garde russes. Ils ont ébranlé la première ligne russe, mais ils ont ensuite été bousculés par la deuxième ligne, l'élite de l'élite du Tsar.
Il m'a fallu suspendre mon mouvement pour rétablir un front et permettre au würtembergeois de se rallier.

Cette nuit nous dormons sur le champ de bataille. Nul doute que demain matin, l'ennemi aura disparu, et que nous pourront nous emparer du pont de Lausitz.

Votre dévoué,
Général Morand, commandant la 12ème division d'infanterie du IVème corps.

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Joël
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MessageSujet: Re: Boute-Selle du 16 novembre 2019   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitimeVen 22 Nov - 0:12

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MessageSujet: Re: Boute-Selle du 16 novembre 2019   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitimeVen 22 Nov - 0:25

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Thierry Melchior
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MessageSujet: Re: Boute-Selle du 16 novembre 2019   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitimeMar 17 Déc - 14:06

Ah bah ! Surprised
Je les avais loupés ces comptes rendus ! Shocked

Bravo les gars ! cheers
Ça, c'est de la bonne lecture historique et véridique… forcément ! Wink

Une petite remarque : j'aurais aimé que les différents paragraphes comportent les numéros des photos afférentes afin de mieux suivre l'action. Cool

Encore bravo les Cosaques et bonne continuation ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Boute-Selle du 16 novembre 2019   Boute-Selle du 16 novembre 2019 Icon_minitime

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